Post du forum : Proposition de questions pour le thème 4 : « Usages, mutualisation de ressources »
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Préambule
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Nous ne souhaitons pas séparer les deux aspects d’usage et mutualisation. Nous souhaitons donc prendre comme point de départ pour cette discussion précédant la rencontre le thème de la mutualisation des usages, même si certains aspects peuvent sembler être plus du côté des usages ou du côté de la mutualisation.
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Nous proposons en revanche de distinguer la transmission d’usages : c’est à dire un mouvement allant des concepteurs vers les utilisateurs, qui peut être plus ou moins prescriptif ; et la mutualisation d’usages entre utilisateurs qui peut amener à la conception de ressources dirigées vers l’usage. Les discussions montreront peut-être si cette distinction est pertinente ou non.
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Les questions formulées peuvent toutes être considérées sous différents angles, allant des aspects les plus pratiques de mise en Å“uvre aux questions des cadres théoriques susceptibles d’apporter des éclaircissements. Nous suggérons que les participants à la discussion exposent leurs réponses aux questions en parcourant ces différents aspects.
Questions proposées
Quelles caractéristiques d’un usage peuvent être transmises ou mutualisées ?
Quelles catégories doit-on retenir pour la description d’un usage en vue de sa diffusion ? Quel degré de précision faut-il adopter pour une transmission d’usages, comment aider à la mise en Å“uvre sans imposer des prescriptions risquant de bloquer l’appropriation d’une ressource par les enseignants ? Quelles échelles de temps doit-on prendre en compte ? Peut-on dépasser l’échelle de l’activité, pour aller vers un usage au niveau d’une séquence, voire au-delà ?
Quels dispositifs pour la transmission ou la mutualisation d’usages ?
Des usages peuvent certainement être mutualisés entre enseignants au sein de communautés de pratiques. Cependant, dans notre position de chercheurs dans des groupes INRP, de telles communautés ne sont pas forcément d’un accès facile. Quels dispositifs sont alors possibles pour la transmission d’usages que nous souhaitons diffuser, ou pour encourager une mutualisation d’usages ? Faut-il passer par une formation continue de type SFODEM, quels principes devons nous retenir de l’expérience pionnière du SFODEM ? Ou bien est-ce qu’un forum, une liste de diffusion, une plate-forme d’échange sont suffisants pour qu’émergent des communautés qui vont élaborer des usages communs ?
Contact : Ghislaine Gueudet
